BYDUREON® exénatide

Bydureon® (suspension injectable d'exénatide à libération prolongée en stylo pré-rempli) est un agoniste du récepteur du glucagon-like peptide-1 (GLP-1), injectable une fois par semaine, présenté sous forme d'un stylo unidose, indiqué pour améliorer le contrôle glycémique chez les adultes atteints d'un diabète de type 2.

À propos de Bydureon

Image résumant l'efficacité de Bydureon en stylo
Image résumant l'efficacité de Bydureon en stylo

¶¶Le risque d'hypoglycémie est augmenté lorsque Bydureon stylo est utilisé en association à un sulfamide hypoglycémiant ou avec d'autres sécrétagogues glucose-indépendants (par ex., méglitinides). Les cliniciens pourront considérer une réduction de la dose de sulfamide hypoglycémiant.

***Bydureon n'est pas indiqué pour la prise en charge de la perte de poids, et la modification du poids était un critère d'évaluation secondaire dans des essais cliniques.

†††Bydureon n'est pas indiqué pour la prise en charge des facteurs de risque liés à la MCV, qui étaient des critères d'évaluation secondaires dans des essais cliniques.

Besoin non satisfait

La GPP et la GAJ contribuent à l'HbA1c30

La GPP contribue davantage à l'hyperglycémie globale que la GAJ à de faibles taux d'HbA1c¶¶¶30

Graphique représentant la contribution de la GPP et la GAJ aux taux d'HbA(1c)
Graphique représentant la contribution de la GPP et la GAJ aux taux d'HbA(1c)

Adapté avec la permission de Monnier et al.

Les écarts de GPP sont un facteur majeur contribuant à la charge glycémique globale chez les patients présentant une hyperglycémie légère à modérée.30

Conception de l’étude

Étude observationnelle (N = 290) chez des patients traités depuis au moins 3 mois par régime alimentaire seul, metformine, glyburide, ou les deux. Les critères d’inclusion étaient un antécédent de diabète de type 2 depuis ≥ 6 mois et aucun traitement en cours par insuline ou acarbose. Les patients ont été triés en fonction de leur taux moyen d'HbA1c (%), et une analyse sur 1 jour, à 4 points, des concentrations plasmatiques en glucose, à jeun et post-prandiale, a été réalisée après l'administration d'un régime alimentaire normalisé.30, 31

¶¶¶Les patients ont été traités par régime alimentaire seul, par metformine, par glyburide, ou par une association de metformine et de glyburide.

L'insuline basale peut ne pas contrôler de façon adéquate les élévations de GPP32

Contributions relatives de la GPP et de la GAJ à l'hyperglycémie après 24 ou 28 semaines de traitement par insuline basale32

Graphique montrant que l'insuline basale n'atteint pas les objectifs en matière d'HbA1c
Graphique montrant que l'insuline basale n'atteint pas les objectifs en matière d'HbA1c

Adapté avec la permission de Riddle, et al.

La GPP peut rester élevée et contribuer à l'hyperglycémie globale même chez les patients traités par insuline basale32

De nombreux patients ne parviennent néanmoins pas à atteindre leurs objectifs en termes d'HbA1c après le traitement par insuline basale.33, 34

Conception de l’étude

Des données de référence et à 24 semainesa issues de 6 études menées chez des patients (N = 1 699) atteints de diabète sucré de type 2 mal contrôlé (HbA1c > 7 %) sous antihyperglycémiques oraux ont été agrégées pour analyse. Le taux d'HbA1c moyen à la référence était de 8,7 % pour la population de patients avant l'augmentation posologique du traitement par insuline basale (n = 1 261). Les concentrations plasmatiques de glucose à jeun et de GPP ont été dérivées de mesures relevées avant et 2 heures après chaque repas et au coucher.32

aLes données des patients issues d'une étude n'ont pas été évaluées à 24 semaines. Celles-ci ont été substituées par les données à 28 semaines.32